Vadym Makarenko allie la puissance sonore à une expression aussie généreuse qu’éruptive. […] Makarenko joue avec sa proie, la renifle, la flatte en un rubato caressant, puis bondit, ronronne le temps d’un Largo, avant le swing de l’Allegro final, danse furieuse où l’orchestre vibre et se cambre.”
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